Gala : Paradoxalement, cet album, vous l’avez fait avec Maxim Nucci, le père de votre enfant ?
Jenifer : Effectivement. Mais parce que Maxim est un musicien que j’admire énormément, dont je suis fan. Je voulais travailler avec lui avant même qu’il soit mon compagnon. C’est quelqu’un de très talentueux pour qui j’ai énormément de respect. C’est vraiment et définitivement une belle personne. Et j’ai adoré être sa muse pendant un an et demi…
Gala : Cet album est aussi un peu votre enfant - un très bel enfant d’ailleurs - est-ce qu’on peut comparer la crise que vous traversez avec celle que traverse souvent les couples après une naissance justement ?
Gala : On vous dit notamment complice artistiquement et sentimentalement de Pascal Obispo, au point d’avoir emménagé chez lui. Qu’en est-il ?
Jenifer : Pas du tout ! Mais je n’ai pas envie de me justifier là-dessus. J’ai juste envie de dire, laissez moi vivre ma vie ! Laissez moi tranquille !
Montre d’homme au poignet gauche, anneau finement cicelé de brillants à la main droite, Jenifer se situe dans cet entre-deux-là. Précisément. D’un côté, volontaire, décidée, presque virile, mais aussi fragile, tendre, avec parfois des impatiences de biche effarouchée. Comme au carrefour de quelque chose… (1/2)
Gala : On parle beaucoup de vous actuellement dans la presse…
Jenifer : Une presse dans laquelle je n’ai pas du tout envie d’être et qui me fait beaucoup de mal. ( Un silence) Je suis une jeune femme de vingt-cinq ans, j’ai un petit garçon de quatre ans et il se passe des choses dans ma vie qui ne regardent que moi. Et puis on raconte beaucoup de mensonges…