Petit roman avec vos participations  

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Chapitre 1 : Le déménagement
 

Je ne comprends pas pourquoi cela m’arrive. À la campagne, je me sentais bien auprès de ma sœur et de ma mère. Je passais de bons moments avec Éclair, mon cheval. Nous allions toujours nous promener au couché du soleil. Un jour, maman m’a dit qu’on avait des problèmes financiers et que nous devions vendre la maison. J’ai dû vendre mon cheval car nous n’avions plus les moyens de le garder. La dame qui a acheté mon cheval a été très gentille. Elle m’a dit que je pourrais lui rendre visite. Malheureusement, rien ne s’est passé comme prévu. Maman a décidé qu’elle voulait partir en Californie pendant quelques mois pour aller visiter ma tante malade. J’ai voulu venir avec elle mais elle m’a expliquée qu’elle n’avait pas les moyens de payer le voyage pour moi et ma sœur. J’ai su à ce moment que je devais aller vivre chez mon père. Celui-ci est un homme très sympathique, mais il n’était presque jamais à la maison. Je pense que c’est pour cela que ma mère l’a quitté. Il n’avait jamais de temps pour personne.  De plus, il habite en ville. Je déteste toute cette polution ! À la campagne nous pouvions respirer l’air frais des matins. Ici, j’ai l’impression que mes poumons vont exploser de gaz à effet serre. Il y a des magasins et des restaurants à tous les coins de rues. Au moins, il vit dans une petite ville du nom de Bourganie. Ma sœur Katherine est tout le contraire de moi. Elle adore la ville. Un soir elle m’avait dit en riant qu’elle aimerait vivre à New York. C’est dommage que ma mère ne pouvait l’amener avec elle en Californie. Elle n’a seulement que 13 ans mais elle a déjà une silhouette parfaite ; tout pour attirer le regard des garçons. Elle a de beaux cheveux bruns pâles, doux comme de la soie et elle adore la gymnastique. Elle a commencé ce sport à l’âge de 8 ans. Depuis, c’est un vraie prodige. Maman et moi allions voir tous ces spectacles. Papa n’est jamais venu. Katherie l’a toujours détesté pour ça. Quand elle a su qu’elle devait vivre chez papa, elle ne nous a pas parlé pendant des semaines. Quand ma mère et mon père se sont séparé, Kat n’a pas hésité à prendre le parti de maman. Lorsque ç’a été mon tour de choisir, j’ai eu le cœur brisé. J’aimais papa même si nos visites se faisaient rares. Quand je suis arrivée chez papa, la rue semblait déserte malgré le soleil plombant de l’été. Mon père vient tout juste de déménager il y a à peine un mois. Son ancienne maison était en plein cœur du centre-ville et j’avais beaucoup de difficulté à m’endormir la nuit tombé. Sa nouvelle maison est beaucoup plus isolés et les rues semblent plus calmes. Kat ne voulait pas sortir de la voiture. J’ai dû lui demander d’être gentille avec papa. Elle me regarda d’un regard noir. Voilà, elle me déteste à nouveau. Nos bagages se trouve déjà chez papa depuis plus d’une semaine. Nous n’avions en mains qu’un petit sac. C’est maintenant le moment de dire aurevoir à maman. Nous ne pouvons nous empêcher de pleurer. Après tout, nous ne la verrons pas avant Noël ! La voiture disparaissait au loin, lorsque nous avons pris notre courage à deux mains et nous avons sonné. 10 secondes plus tard, papa était devant la porte avec un sourire qui voulait tout dire.
- Salut mes chéries ! Vous m’avez tant manqué ! Nous dit-il en nous serrant dans ses bras. Désolé les filles, je vous avais complètement oublié !
Kat serra les dents et je dû lui donner un coup de coude sur le bras. Elle soupira et lui répondu avec indifférence :
- Salut papa, ça fesait longtemps.
Il y a eu un moment de silence puis papa nous a fait faire le tour des pièces. Elles étaient spacieuses. Une salle de bain reliait ma chambre à celle de Kat. Nous aurons de grands moments de délire moi et elle.
-« Désolé les filles, je dois aller au boulot » disa mon père avec une pointe de nervosité. «Faites comme chez vous. Si vous avez faim, il y a de la salade dans le tiroir du frigo. Sinon faites ce que vous voulez.»
Puis il nous embrassa sur le front et parti à son boulot. Dès que nous avons entendu le moteur de sa voiture s’éloigner, Kat me regarda d’un œil complice.
- «Je ne reste plus une seule seconde dans cette maison. Je vais faire les boutiques, veux-tu venir Mégane ?» dit-elle, les yeux pétillants.
Je déteste la ville. Ça il n’y a aucun doute. Mais il fait chaud et je ne veux pas rester une seconde de plus à l’intérieur.
- D’accord, je t’accompagne.

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Voilà les filles ! J'espère que vous apprécierez cette histoire et que vous voudrez y participer ! J'attends vos réponses pour la suite ! (n'oubliez pas que vous devez répondre au sondage et non dans les commentaires)