Mon cher et tendre Je t'aime à mourir Tu peux m'entendre Je ne sais que te dire A part que je souffre, A part que j'étouffe Je cherche en vain mon second souffle Tu sais, Les jours sont trop longs sans toi Et ouais, Je te veux près de moi C'est vrai, On est loin des yeux On est loin du coeur Tes courriers me donnent force et chaleur Oh mon bébé, oh mon amour, Ce sont des désirs de tous les jours Il faut tenir le coup jours après jours Derrières les portes de fer de cet univers Je t'imagine hier solitaire Dans cette cour, prisonnier sans recours Personne n'entend tes appels au secours