Mort... Saluee pépé, tu n'es peut-être plus de se monde, mais ce n'est pas ce détail qui va m'empêcher de penser à toi, de te parler, de t'aimer...Comment pourrais-je t'oublier? Après l'école, je venais souvent te parler de ma journée. Tu m'écoutais, tu me parlais de ton enfance et souvent me demandait comment je voyais ma vie plus tard. Je te répondais toujours la même chose... J'aurai un mari et trois enfants, je travaillerai en médecine. Je vivrai dans un petit village tranquille et je serai heureuse. Après, tu m'expliquais que la vie n'était pas un rêve... et qu'il faudrait que je fasse des sacrifices entre ma famille et mon travail. Je ne voyais pas pourquoi tu me disais ça. Habituellement les gens me disaient: <> maintenant j'ai compris. Tu as voulu me faire comprendre que j'allais vivre des hauts et des bas, que je ne pouvais pas tout avoir dans la vie et que si j'avais un travail qui demandait beaucoup de temps, je n'aurai pas le temps de m'occuper d'autant d'enfant. J'espère que tu es conscient que c'est toi qui m'a le plus fait réfléchir sur mes choix de carrière et à chaque fois que j'en choisi un, je regarde tous les avantages et tous les inconvénients de se métier et là je décide s'il m'intéresse ou non. Défois, tu me montrais a joué du piano. Tu n'avais jamais pris de cours, mais la passion parraissait dans tes yeux et je trouvais ça fascinant. Je me disais que moi ma passion est la danse, que je dansais dans un horraire spécifique et que j'aprenais des danses créées par un professeur. Que toi ta passion était la musique tu en fesais.... je n'ai pas fini :/
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