Au XIXe siècle, le débat sur le bien-être animal est bien présent, avec des groupes comme la « Ligue antivivisectionniste française » dont Victor Hugo devint président. Celui-ci fut d'ailleurs un des principaux promoteurs de la première loi de protection des animaux domestiques prévoyant des conséquences sur le plan pénal. Jacques Delmas de Grammont était député de la Loire et président de la SPA(societe protectrice des animaux) française.
« Seront punis d'une amende de 750euros,ceux qui auront exercé publiquement et abusivement de mauvais traitements envers les animaux domestiques. La peine de la prison sera toujours applicable en cas de récidive. L'article 483 du Code pénal sera toujours applicable. »