La violence… La violence gratuite… C’est une façon de parler. D’une façon de s’exprimer. Les traces laissées ne sont pas gratuites. Hors mis les cas de consciences.
Est-ce une façon de négocier ? En agissant sur les peurs ? De devoir un jour subir Des défouloirs à venir Sous une forme de terreur Où tout va être cassé ?
Leur manquerait-il quelque chose ? En utilité ou reconnaissance ? Que les nantis ne savent plus partager ? Sauf en lois pour sanctionner, D’éventuelles désobéissances, Pour n’importe quelle chose.
Œil pour œil, dent pour dent. En vendettas non responsables ? En se parlant ? Et s’écoutant ? Paroles données c’est du contant ? Offrir de construire du durable, Entre personnes le voulant ?
Oui, mais que de chemin, Que de pédagogies, Que de patiences et de temps, A s’offrir mutuellement, Pour sauver l’honneur bannit, D’hier, d’aujourd’hui, et demain.
Ah, des haïkus… Ça… c’est à personne ? A quelqu’un qui soit humain, Et ayant des droits ?
Oh merci nature. Maintenant ça c’est à moi. Et seulement à moi.
J’étais le premier Et je peux vous le prouver. Quoi ? Nature tais-toi.
Au nom de ma force Je fais de toi mon sujet En vie ou bien mort.
Suis-je ta liberté ? Maintenant je la deviens. Et ne l’oublie pas.
Que contestez-vous ? Vous avez un avocat ? Alors taisez-vous