OS : Si seulement j’avais su…
Si seulement j’avais su… je ne serais pas venue, je ne serais pas née…
*Flash back*
Alors que je rentrais chez moi, ceux que je pensais mes amis m’attendaient devant la porte. Ils avaient l’air furieux. Interrogatrice, je les questionnais :
- Qu’est-ce qu’il y a ?
- Ne fais pas l’innocente, dis celui que j’aimais depuis toujours.
- Mais qu’est-ce qu’il y a ? Vous semblez en colère contre moi, mais je en sais pas pourquoi.
- C’est ça, oui, s’exclama ma meilleure amie en levant les yeux au ciel.
- Mais bon sang !! Qu’est-ce que vous av-
Mais je ne pus finir ma phrase. Je venais de recevoir une gifle de celui qui était censé être mon meilleur ami. Les larmes me montèrent aux yeux.
- Chouineuse !! se moquèrent-ils.
Je pleurais. Je levais les yeux vers les personnes, qui, hier, étaient mes amis.
- Mais bon sang, qu’avez-vous ?? Je ne vous ai rien fait !
- Ce n’est pas ce qu’on nous a dit, dit un autre « ami ».
- Tu sais, quand tu pleurais, hier ? Que des gens disaient de mauvaises choses sur toi ? Sur le moment, on t’avait défendu, dis celle qui était censée être ma conseillère sentimentale.
- Mais, cette personne, qui t’as avoué tout ça, est venue nous voir, ce matin.
- Elle nous a dit des choses sur toi.
- En fait, t’es pas celle qu’on croyait.
- T’as une réputation de m*rde partout dans la ville.
- Il parait que tu parles dans notre dos, à nous tous. Nous, tes amis.
Je pleurais de plus belle. Entendre ces paroles de la bouche de mes amis me blessait plus que tout.
- J-je… non… hoquetais-je.
- Fais pas l’innocente, repris celui que j’aimais. T’es la pire personne que je connaisse.
Ces mots me firent mal. Très mal. Mon cœur saignait.
- J-je ne sais pas ce que j’ai fais…
- Mais oui, c’est ça, dit celle qui était censée être ma moitié.
Je pleurais de plus en plus, au fur et à mesure que mes anciens amis parlaient. Je souffrais.
- S’il vous plait… dîtes-moi ce que j’ai fais…
- Tu le sais déjà, s’exclama sèchement une amie.
- N-non… hoquetais-je.
J’eu tout d’un coup envie qui me ferait souffrir autrement.
- S’il vous plaît… peut-être puis-je réparer les erreurs dont vous m’en voulez ?
- Jamais ! cracha mon ex petit-ami, avec qui j’étais restée amie. Tu ne pourras jamais réparer ces erreurs !!
- Tu parlais dans notre dos, à nous, répéta mon amie. T’as vraiment une réputation de m*rde.
Je n’en pouvais plus. Je les bousculais et entrais chez moi en pleurant.
*Flash back*
Je me mutile. Je n’en peu plus. Ca fait une semaine que ça dure. Je n’en peu plus. J’en ai assez. J’ai juste envie de mourir. Là, sur le champ. Pourtant, avant de passer à l’acte, il me faut que je fasse quelque chose.
Des personnes entrèrent dans une maison qu’ils connaissaient parfaitement bien. La mère de leur ancienne amie les avait appelés en pleurant. Quand ils arrivèrent, ils avaient bien envie de continuer à harceler leur ancienne amie, pour qu’elle paye ce qu’elle ne sait sois disant pas. Pourtant, polis, ils écoutèrent la mère.
- J-je vous déteste !! hurla-t-elle en pleurant.
Les anciens amis de sa fille regardèrent la mère étonnée.
- Mais que… commença l’ancien bien-aimé.
- M-montez… dis la mère d’une voix tremblante.
Les adolescents obéir. Ils montèrent dans la chambre de leur ancienne. Ils ouvrirent la porte et ce qu’ils virent le figèrent. Elle était morte, tenant dans sa main une lettre ensanglantée. Lui, celui qu’elle a aimé, s’avança et prit la lettre. Il la lu à voix haute.
Mes chers… anciens amis,
Je ne sais pas ce que je vous ai fais, mais en tout cas, je tiens à m’excuser. Lorsque vous avez dit que je parlais dans votre dos, vous n’avez pas précisé quoi, alors mon seul souvenir est ceci : je parlais de vous, en disant que j’avais des amis extraordinaire. J’avais dis ceci à une personne qui ne méritait pas ma confiance, et qui m’as trahie, qui m’as fait souffrir pas deux fois cette semaine. Je n’en peux plus. Je pensais vous faire confiance, je me suis trompée. Le harcèlement que vous avez fait preuve à mon égard m’as menée à un point dont j’ai pensé qu’elle serait ma seule issue : la mort.
Si vous lisez cette lettre, c’est que je le suis à présent. A présent, je ne souffre plus. Je suis loin de toutes les douleurs que j’ai eu à supporter. Je suis dans un nouveau monde. Un monde où le bonheur existe et est permanent. Le paradis.
Mon sang coule à flot, au moment où je vous écris. D’où les trace de sang sur le papier.
Maintenant, mes forces me quittent. Ainsi finit ma lettre : je suis désolée pour tout ce que j’ai pu faire, et que cette personne dont je tairais le nom et que vous connaissez puisse aller aux Enfers.
A jamais.
Ils pleuraient à chaude larmes.
- On est horrible… pleura l’ancienne meilleure amie.
- On ne mérite plus de vivre, ajouta une autre personne.
Et, sur ces mots, devant le regard de leurs parents et de ceux de la défunte, ils prirent à leur tour, chacun à son tour, le cutter ensanglanté qui a permis à la défunte de quitter ce monde injuste. Ils s’écroulèrent chacun à leur tour, devant les larmes de colère et de tristesse des adultes. Pourtant, ils ont raté une phrase qui aurait pu changer la donne. Une phrase, soigneusement écrite, au bas de la feuille, après la dernière formule de politesse :
Si seulement j’avais su que ça se terminerai ainsi, j’aurai eu plaisir de ne pas naître.
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Hey !
J'avoue que je ne poste plus depuis longtemps.
Mais bon, c'est que j'ai plusieurs idées de fictions, et j'ai des fictions à finir.
Bref. Parlons de ce OS.
J'ai été inspirée par une amie qui m'a dit que quelqu'un lui a dit que j'avais sois disant une mauvaise réputation dans les collèges, et que je parlais dans son dos (à mon amie), et que j'étais une chouineuse.
Bref. En clair, je me suis inspirée de ce que j'ai dis au-dessus pour écrire ce OS.
A vous de choisir le personnage que vous voulez.
Peu importe.
Ca peut être Francesca, Camila, Ludmila, n'importe qui. Ca peut aussi être des persos de manga.
Bref, n'importe qui.
Salut ! ;) ^^'